
Tout s'orientait vers un film crépusculaire plutôt triste, les lieux désertés, le passé regretté , le conflit des générations avec entre autre une Demoustier en Macron à jupons, bref la nostalgie camarade. Et pourtant après la tragédie , il a trouvé le moyen de nous émerveiller de nous ensoleiller et de nous émouvoir , une amourette impossible entre Ascaride et un jeunot nous fait sourire et soudainement un incident va faire renaître l'âme de nos protagonistes, du malheur jaillit l'espoir, la volonté de faire la différence, le goût de se battre oui c'est un peu cucul, mais en ces temps mornes, refusera-t-on un peu d'optimisme ?
C'est ce que cet offrande nous offre, c'est également un rappel que les lieux deviennent ce que nous voulons qu'ils soient, la chaleur humaine est en nous et cette villa en possède plein.