Les vrais chiffres
Publié : 14 déc. 2020, 13:10
Une des choses les plus importantes concernant l'analyse de la situation Pandémie Covid-19, c'est au sujet de la surmortalité. C'est à dire un ''peak'' dans les décès, pour une période ou région. L'année 2020 complète et le monde entier, dans le cas qui nous occupe.
Cela donne un portrait réel du ''drame'', puisqu'une surmortalité tient compte des décès qui ne seraient pas survenus autrement, apportant donc une preuve qu'un événement hors de l'ordinaire a eu lieu (comme une guerre mondiale par exemple), ce qui ne semble pas du tout être le cas avec la Covid-19, bien au contraire... Voyez les chiffres ici:
Je regarde donc par année et dans le monde, pour une vue globale de la situation.
https://ourworldindata.org/births-and-deaths
2019: 58 390 000 décès
2018: 57 630 000 décès
2017: 56 940 000 décès
Jusqu'à maintenant, alors qu'il ne reste que 2 semaines à cette année de grande pandémie:
2020: 56 160 000 décès (extrapolé à 58 740 000 pour l'année qui va se terminer)
Il semble donc que les 1 625 000 décès attribués à la Covid-19, ne sont pas venu affecter un taux normal annuel, pré-pandémie.
On parle même potentiellement d'une baisse de la mortalité dans le monde, par habitant...
Mais on se demande alors dans quelles proportions ces mortalités étaient de toute manière inévitables (en lien avec d'autres pathologies graves, patients en fin de vie, etc...) ou même étiquettées ''Covid'' alors que c'était d'une autre cause...
En termes plus simples: Combien de ces gens seraient décédés, de toute manière, dans un laps de temps très court, d'autre chose que le virus...?
C'est là que les chiffres, les statistiques sont vraiment utiles, pour avoir un portrait réel de la situation.
Mais, surtout, je me questionne sérieusement sur les proportions de l'hystérie collective qui a mis à l'arrêt la planète complète, alors que les chiffres de décès démontrent que le supposé ''drame apocalyptique'' vendu par les médias mainstream et les gouvernements ne tient pas la route deux secondes.
Maintenant, une chose certaine, on aura par contre des conséquences graves au niveau social-économique, entrainant des famines mondiales, des décès à cause de cancers non-traités, et un peak dans les maladies mentales, causant des drames, de la souffrance et peut-être même une surmortalité dans les années à venir. Comble de l'ironie.
Le remède s'annonce bel et bien pire que le mal.
Cela donne un portrait réel du ''drame'', puisqu'une surmortalité tient compte des décès qui ne seraient pas survenus autrement, apportant donc une preuve qu'un événement hors de l'ordinaire a eu lieu (comme une guerre mondiale par exemple), ce qui ne semble pas du tout être le cas avec la Covid-19, bien au contraire... Voyez les chiffres ici:
Je regarde donc par année et dans le monde, pour une vue globale de la situation.
https://ourworldindata.org/births-and-deaths
2019: 58 390 000 décès
2018: 57 630 000 décès
2017: 56 940 000 décès
Jusqu'à maintenant, alors qu'il ne reste que 2 semaines à cette année de grande pandémie:
2020: 56 160 000 décès (extrapolé à 58 740 000 pour l'année qui va se terminer)
Il semble donc que les 1 625 000 décès attribués à la Covid-19, ne sont pas venu affecter un taux normal annuel, pré-pandémie.
On parle même potentiellement d'une baisse de la mortalité dans le monde, par habitant...
Mais on se demande alors dans quelles proportions ces mortalités étaient de toute manière inévitables (en lien avec d'autres pathologies graves, patients en fin de vie, etc...) ou même étiquettées ''Covid'' alors que c'était d'une autre cause...
En termes plus simples: Combien de ces gens seraient décédés, de toute manière, dans un laps de temps très court, d'autre chose que le virus...?
C'est là que les chiffres, les statistiques sont vraiment utiles, pour avoir un portrait réel de la situation.
Mais, surtout, je me questionne sérieusement sur les proportions de l'hystérie collective qui a mis à l'arrêt la planète complète, alors que les chiffres de décès démontrent que le supposé ''drame apocalyptique'' vendu par les médias mainstream et les gouvernements ne tient pas la route deux secondes.
Maintenant, une chose certaine, on aura par contre des conséquences graves au niveau social-économique, entrainant des famines mondiales, des décès à cause de cancers non-traités, et un peak dans les maladies mentales, causant des drames, de la souffrance et peut-être même une surmortalité dans les années à venir. Comble de l'ironie.
Le remède s'annonce bel et bien pire que le mal.