---------------------------
Ce que nous savons déjà, en date du: 23 décembre 2020
- Les jeunes, mais plus précisément tous les gens en bonne santé, sans antécédent lourd, sont extrêmement peu à risque d'en mourir. Bien que très contagieuse, la Covid-19 n'est pas une maladie aussi grave que le laisse paraitre les médias et la plupart des gouvernements.
- Le taux de létalité (mortalité), selon certains des chiffres les plus récents, est de moins de 0,0005% chez les individus de 49 ans et moins, et les autorités ne dévoilent pas le niveau de comorbidités -probablement très élevé- des patients décédés.
- La très grande majorité des mortalités liées à la Covid-19 au niveau mondial sont des gens avec des polypathologies très sévères et une espérance de vie de moins de 2 ans, voire même de seulement quelques mois ou semaines. Ces gens meurent de la Covid-19 simplement avant de mourir d'autre chose.
- Les cas d'individus, jeunes et en santé, victimes de la Covid-19 sont extrêmement rares et faisant partie de l'exception, mais sont très médiatisés, alimentant une fausse perception et amplifiant une peur irrationnelle propulsée par les médias. Dans la réalité, ce type d'exception possible mais rarissime présent avec la Covid-19 se présente, aussi, dans plusieurs autres maladies.
- Les jeunes de moins de 10 ans ne sont que très rarement touchés par la Covid-19, les décès sont mondialement rarissimes, et les enfants de manière générale ne sont pas considérés comme ''réservoir'' du virus, donc ils ne sont pas des causes de transmission ou une ''menace sanitaire'' dans le cadre de la crise Covid-19.
- Les médias généralistes ainsi que plusieurs politiciens utilisent comme comparatif la grippe espagnole de 1918-20, alors que celle-ci à causé approximativement 2,8% de mortalité parmi la population mondiale, sans aucune commune mesure avec le 0,02% de la Covid-19 jusqu'à maintenant.
- La pire crise sanitaire de l'histoire (connue) de l'humanité est la peste noire, avec approximativement 33% de la population mondiale décimée. Une catastrophe aux dimensions apocalyptiques, en comparaison avec la Covid-19, qui, elle, ne menace en rien l'humanité, de manière directe.
- Il est connu depuis les débuts de la pandémie que ce qui est présenté comme ''l'ultime solution'' -le vaccin- ne sera pas prêt avant longtemps. Il est évident, depuis les débuts, que cette crise mondiale va durer non pas quelques mois, mais plutôt des années. Trouver, tester, produire et administrer à l'ensemble de la population mondiale ce vaccin ne sera ni facile ni rapide.
- À propos du (des) vaccin(s), il y a énormément de questions sans réponses. Les réponses scientifiques faisant consensus sont rares, les certitudes sont inexistantes. Des questionnements sur l'efficacité réelle des vaccins, comment vont-il réagir aux inévitables variants/mutations, est-ce une bonne idée de l'administrer aux gens en bonne santé ainsi qu'aux enfants, mais surtout de manière obligatoire ou ''fortement suggérée''. Le débat est loin d'être terminé à propos de la vaccination, ce sera peut-être même le sujet chaud de 2021.
- Les dommages collatéraux causés par les mesures de nos gouvernements dépassent et continueront de dépasser, pour des années, les dommages directs de la Covid-19. Traitements contre les cancers et opérations retardés, famines causées par de sévères crises économiques, isolation, anxiété et détresse psychologique faisant exploser les risques de maladies mentales et de suicides, sans compter l'effritement du tissu social, la violence domestique et les abus, qui feront des enfants les grandes victimes de ces mauvaises décisions.
- Les autorités ont donc la responsabilité d'organiser des solutions qui vont prendre en compte les risques et les bénéfices, les conséquences actuelles et futures, et ce pour l'ensemble de la population, et non pas seulement pour les gens directement à risque avec la Covid-19 dans une optique réactive d'urgence. Déjà, partout dans le monde, des décisions improvisées, douteuses et potentiellement dommageables sont prises, sous le prétexte d'urgence sanitaire, sans tenir compte des dommages collatéraux qui sont pourtant réels et documentés.
- Le confinement général n'est pas une solution intelligente, efficace et sans risque. La véritable solution est de mieux cibler les personnes à risque, avec des comorbidités, et aussi de mieux organiser, financer et gérer le système de santé. La stratégie du confinement -même partiel- n'est potentiellement valable que pour une réelle situation d'urgence, donc limitée dans le temps, et sans intention de récurrence ou de semi-permanence. En aucun cas elle ne peut être justifiable comme solution systématique puisque les risques dépassent les bénéfices.
- Les chiffres et les statistiques, pour la grande majorité, ne sont ni fiables ni pertinents dans l'état actuel des choses. Le frénétique bombardement de ces chiffres dans les médias est totalement contre-productif et alimente la désinformation, la confusion et la désensibilisation de manière générale, en plus de causer des frictions sociales ainsi qu'une montée de mouvements complotistes.
- Les tests de type PCR actuellement utilisés sont de type qualitatif et non quantitatif, ce qui n'offre aucune nuance sur l'état réel du patient, en plus de provoquer un grand nombre de faux positifs de par l'imprécision de ce type de test, inadapté pour une crise de cette ampleur. Alimentant des chiffres et des statistiques qui provoquent de mauvaises décisions et de la désinformation à l'échelle planétaire.
- Le masque, le couvre-visage de type artisanal ou non-homologué, n'est pas une mesure intelligente dans le contexte de cette crise. Seuls les masques homologués FFP2, utilisés conformément par le personnel médical dans un contexte précis, le sont.