Libération est payant, 4 visites, ils sont tannants, juste à effacer notre historique de navigation après 4 visites s'il faut ?
Peu importe, je ne le ferai pas pour eux, mais pour Le Devoir cela m'arrive, bien oui, 10 la limite. Ok on va effacer ... Mais vous savez quoi ? Cela nous incite à
moins les lire. Cela reste leur droit de faire cela ainsi comme le nôtre de les fréquenter moins souvent. Le Devoir, je payais à l'unité à la copie, parfois le vendredi ou le samedi. Le reste de la semaine ? Votre journal est celui qui vaut le moins le coût parmi tous sauf s'il y a un article à ne pas manquer.
http://next.liberation.fr/livres/2017/0 ... me_1596692
L'entretien ne parle pas que de Trump et heureusement. La Presse et AFP en ne donnant pas l'entretien complet nous oriente vers une image de Philip Roth qui ne semble pas la sienne ou moins fortement que les propos repris.
''La Métamorphose '' de Kafka, c'était une de nos lectures au cégep dans un de mes cours de français.
Plus loin, la psychanalyse... On voit assez bien que la pensée des auteurs est travestie, ce n'est pas ce qu'ils ont dit.
On arrive à Trump ?
Oui et la citation est exacte, ajoutons la question du journaliste :
'' Le Complot contre l’Amérique est l’histoire d’un cauchemar qui n’a pas existé, l’élection d’un président d’extrême droite en 1940. Mais l’Amérique, aujourd’hui, n’est-elle pas en train de vivre ce cauchemar ? ''
Mais est-il un bon analyste politique ? Connaît-il vraiment Donald Trump ? Et nous le connaissons-nous vraiment ?
Pour la politique cela reste compliqué et frustrant et plus complexe que les analyses qu'on peut lire. Pour les romanciers eux, ils peuvent avoir produit des grandes oeuvres littéraires. Mais ce n'est pas la même chose que ce qui se passe réellement sur le terrain.
Cet auteur fait partie du peuple américain comme le Donald en fait partie, c'est un pays de contrastes et fascinant.
Pour le monde des affaires et des gens malhonnêtes cela ne date pas d'hier et ce n'est pas tout le monde mais les pratiques de certains d'antan ou encore celles qui existent toujours ne sont pas toutes jolies. Mais attention, le monde politique est encore pire parfois ou même souvent. L'hypocrisie y est plus grande. Et dans celui artistique ou littéraire ? Bien là cela se fait souvent avec les baguettes en l'air et dans les milieux universitaires aussi. Et des gros mots, il y en a...
Des profs universitaires détestant des politiciens ou des hommes d'affaires célèbres on en a vus. Au Cégep de manière différente. Pas la même faune.